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Artillerie autrichienne en 1809 au 1/72

 L'artillerie autrichienne en manteau, un gras classique de chez Hät, en stock depuis 2001, il était temps de les peindre.









La bataille de Charnay 11 mars 1814 au 1/72

 Ayant échoué à reprendre Genève et débloquer Besançon le maréchal Augereau se met en retraite "volontaire". Craignant de trouver Mâcon tenu par les Autrichiens de Bianchi, il décide de gagner Lyon d'abord puis de remonter sur la ville par la rive droite de la Saône tandis que la division Bardet s'y portera par la rive gauche. Le FML Bianchi s'empare donc sans coup férir de Mâcon, dernier passage sur la Saône avant Lyon, coupant de ce fait en deux les forces du maréchal qui l'attaqueraient. Ce dernier en rajoute, laissant la division Pannetier à Villefranche, alors qu'elle aurait parfaitement pu accompagner la division Musnier envoyée seule. Cela commence cependant bien grâce à la double surprise de l'ennemi qui après ses faciles succès ne s'attend ni à une offensive française ni surtout à la présence en nombre de cavalerie dont il croyait l'Armée de Lyon dépourvue. L'avant-garde autrichienne de Scheither, taillée en pièces par les hussards de Colbert, donne cependant le temps à Bianchi de se mettre en mesure sous Mâcon. Musnier, grisé par le succès de Colbert, n'hésite pas à s'engager à fond sur un ennemi qu'il n'a pas reconnu... et deux fois plus nombreux que lui... mais sans doute compte-t-il sur l'intervention de Bardet. De fait la brigade d'Ordonneau fera merveille et lui aurait sûrement donné la victoire contre un autre général que Bianchi, nonobstant l'extrême solidité de ses troupes hongroises. Ce dernier, de son côté, pense très logiquement avoir affaire à l'avant-garde d'Augereau que le maréchal doit suivre de près avec le gros de ses troupes...

partie joué en a peine trois heures avec la règle "l'affaire d'un déjeuner"