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CR combat de Stonne en 1940 Mémoire 44 au 1/72

La bataille de Stonne, opposant Allemands aux Français et se déroulant du 15 mai 1940 au 27 mai 1940, est une des plus importantes batailles de la campagne de l'ouest.

Compte rendu d’une partie Mémoire 44.

Pour ceux qui ne connaissent pas la règle, c’est un jeux sur hexagone ou l’on active les troupes avec des cartes de commandement, les combats sont résolus avec des dès spécifiques.
C’est une règle très simple qui s’apparente plus à un jeux de plateau mais c’est très sympa et ça permet de faire une partie en moins d’une heure.
Je préfère le faire au 1/72, le rendu visuel est mieux. 






1er tour, les français attaquent par la gauche, les allemands n’ont pas d’autres choix que de défendre.




2nd tour, le combat continue sur la gauche française.



3ème tour, les allemands repoussent l’attaque française.




4ème tour, contre-attaque française 




5ème tour, l’attaque est lancée sur la droite




6ème tour, attaque française à gauche pendant que les allemands attaquent sur l’autre ailes.



7ème tour, les français continuent leurs attaque à gauche, les allemands attaquent au centre.




8ème tour, comme au tour précédent les belligérants poursuivent leur manœuvres 




9ème tour, les français libèrent Stonne, les allemands percent au centre.



10éme et dernier tour, les français prennent Stonne, les allemands bombardent les français mais en vain.




VICTOIRE française avec 6 médailles contre 4.



























Grenadiers de la Garde Royale Italienne en 1812 au 1/72

La bataille de Malo-Jarodlavetz eut lieu le 24 octobre 1812.
Le corps d'Eugène a lancé des attaques répétées sur les pentes boisées abruptes devant le village, en reprenant avec succès la ville à plusieurs reprises. Malo-Jarodlavetz changea huit fois de mains. Les soldats italiens d'Eugene ont mené la charge finale pour capturer la ville, mais la victoire était seulement tactique. Les Grenadiers de la Garde Royale se sacrifièrent pour ouvrir à l’armée cette route du sud que l’Empereur avait choisi en sortant de Moscou.

Malgré l’uniforme vert foncé, le régiment d’infanterie de la Garde Royale avait une capote de la même couleur que celle de la Garde Impériale, la coupe était également similaire. Cela peut s’expliquer par la présence du régiment à Paris au moment où la Garde Impériale reçut des capotes bleues foncées en 1804.

Figurines Napoleonfigurines :















Le bataillon des Marins de la Garde Impériale en 1809 au 1/72

Le bataillon des Marins de la Garde Impériale en 1809.

Les marins surent montrer qu'ils étaient capables de vaincre l'affront infligé en 1808 à la bataille de Bailen, lorsque le Général Dupont de l’Étang livra son Corps d'Armée aux Espagnols et parmi lequel on compte notamment 400 Marins de la Garde dont quelques dizaines moururent en captivité. Ce désastre militaire anéantira partiellement le Bataillon qui renaîtra de ses cendres en 1809 par un nouveau décret Impériale, il prend le nom d’Équipage, et est formé de 5 escouades, soit 148 hommes dont 1 trompette, non compris 1 chirurgien major et 3 maitres ouvriers. A Wagram, (4-5 juillet 1809) 113 hommes sous les ordres du Capitaine de vaisseau Baste servirent avec des unités du Génie sur l'Île Lobau qui était entourée par le Danube. Cette île fut transformée en gigantesque entrepôt où étaient placés armes, munitions, vivres, etc... De plus pour la bataille de Wagram, une batterie de l'artillerie française s'était installée sur Lobau. Le rôle des Marins de la Garde était important, ils avaient participé à la construction et la rénovations des canaux passant par dessus le Danube et reliant donc la terre. Ils avaient aussi prouvé que leur entrainement de Marin n'avait pas servi à rien en organisant un système de navigation et de communication sur une bonne partie du Danube. Ils servirent finalement en réserve pour la bataille de Wagram et aidèrent à évacuer les blessés, ainsi que le matériel qui accompagnait la Grande Armée.
Les Marins de la Garde ont cependant été engagé directement au combat lors de la Bataille de Leipzig en 1813, étant intégrés à l'infanterie de la Jeune Garde. 

Figurines Franznap









Le 20e régiment de Chasseurs à cheval en 1814 au 1/72

Créé à Verdun en 1793 avec la cavalerie de la Légion du Centre, il se distingue pendant la Révolution et le Consulat ( Hohenlinden, Neumarkt).
Au début de l' Empire il est stationné en Hollande.
En Août 1806, il rejoint le corps du maréchal Augereau. Le colonel Marigni est tué à Iena.1807:Il charge avec fougue à Eylau, puis participe aux combats de Guttstadt et Heilsberg où le brigadier Henri faisant partie du peloton d'escorte ce jour là, le cheval de Murat est abattu et Henri qui lui donne le sien. Murat demandera la Croix pour ce cavalier.
1809 est à Essling, Raab, Wagram. Le colonel Castex promu général est remplacé par le colonel Cavrois. 
Le régiment rentre en France et à l' honneur de servir d' escorte à Marie Louise pour le mariage de l' Empereur.
De 1810 à 1813, les 3e et 4e escadrons sont en Espagne sous les ordres du lieutenant colonel de Verigny.
En Mai 1811 ils seront à la bataille de Fuentes de Onoro à la brigade du général Fournier Sarloveze et enfonceront un carré anglais.
A Guarda, Parquin et Soufflot enléveront chacun un drapeau aux Portugais.. Le 2eme escadron rejoint l' Espagne avec le commandant Curely.
En 1812, le régiment est à la Grande Armée avec le colonel de La Grange au 2e Corps du maréchal Oudinot.
1813 :commandé par Curely le régiment est au 2e Corps de Cavalerie du général Sebastiani.Il combat à La Katzback, à Dresde ( ou le colonel Sourd prend son commandement), à Wachau, Leipzig et Hanau. Les débris du régiment combattent encore pendant la campagne de France en 1814 aux batailles de Montmirail, de Vauchamps (14 février 1814) et de Montereau.


Son uniforme est vert à couleur distinctive aurore avec des variantes de coupe selon l' époque. Les trompettes ont souvent les tenues de fond aurore.La compagnie d' Elite porte le colback. ( Sources Forum des Amis du Patrimoine Napoléonien


Figurines Italeri











Les Tartares lituaniennes en 1812 au 1/72

Les Tartares lituaniennes en Russie subirent des pertes sévères avant Vilna les 10 et 12 décembre 1812 en protégeant la retraite de la Grande Armée qui avait débuté le 19 octobre de Moscou. Seuls 30 survivants atteignirent les lignes françaises à Posen. Achmatowicz fut tué. Le Lieutenant Lubanski devint le commandant provisoire. Enfin, le capitaine Sultan Samuel Murza Ulan lui succéda. Par la suite, les forces de l'escadron s'élevèrent à 63 hommes, deux lieutenants et deux maréchaux des logis.

En mars 1813, le Maréchal Bessières incorpora l'escadron des Tartares lituaniens, réduit maintenant à 50 hommes et 3 officiers, dans les débris du Troisième Régiment des Lanciers de la Garde, lui-même levé en Lituanie.

Toutefois, ils continuèrent à servir comme unités de combat distinctes dans le régiment de lanciers polonais au cours des campagnes d'Allemagne et de France.  Les Tartares lituaniens englobèrent la 15ème compagnie sous Ulan et furent considérés comme étant de "Moyenne Garde" en août 1813. Ils se battirent à Leipzig et à Hanau. Cinquante hommes et trois officiers étaient officiellement présents à la bataille de Dresde le 27 août 1813.

Le 9 décembre 1813, les huit dernières compagnies des Lanciers de la Garde Impériale devinrent les Troisièmes Éclaireurs. Ce régiment fut en fait attaché aux Premiers Lanciers et placé sous le commandement général de son colonel, le Général Comte Krasinski. Le chef d'escadron ou commandant des Troisièmes Éclaireurs était Jean Kozietulski. Ce fut en tant que lanciers éclaireurs que les Tartares lituaniens combattirent pendant la campagne de France, jusqu'aux portes même de Paris.


Figurines Franznap.