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Douglas C-47 en 1944 au 1/72

Douglas C-47 Skytrain est la désignation officielle donnée par l'United States Army Air Forces à l'une des versions militaires du DC-3. 

Après une visite au musée de Sainte Mère Église en Normandie, mes enfants m’ont fait acheter le C-47 de chez Italeri au 1/72, alors il a bien fallu que je le monte.

Le vrai :



La maquette :

Montage rapide, j’évite Les détails car ils disparaissent très vite, l’avion est utilisé, il n’a pas la chance de connaître la protection d’une vitrine.






Et un petit montage tout pourrie :

B1bis en 1940 au 1/72

VERCINGETORIX   n° 481      BAT 46/47
 
Perçu par le 46e BCC 3e compagnie à Gien le 28 avril 1940.

Equipage :
Chef de char : Sous-Lieutenant Alexandre Vadon.
Pilote : Sergent-chef Henri Hochart.
Radio : Chasseur Roger Biedelez.
Aide-pilote : Chasseur Gilbert Lafabrie.

11 mai 1940, formation de la 4e D.C.R. dans laquelle les deux bataillons de chars B sont les 46e et 47e B.C.C. constituant la 6e demi-brigade.
14 mai 1940, cantonné à Mesves-sur-Loire, le 46e B.C.C. est alerté. Embarquement par voie ferrée sur 6 trains. Départ le 15 mai de la Charité-sur-Loire, le 16 mai débarquement à Crouy, 1 km Nord-est de Soissons.
Les 1ère et 2e compagnies, sur chenilles, se rendent aux lisières Nord-est de la forêt de Samoussy
17 mai 1940, combat de Montcornet.
19 mai 1940, combat de Crécy-sur-Serre, Mortiers, Laon.
28 mai 1940, combat de la tête de pont d'Abbeville : Huppy.
29 mai 1940, combat de la tête de pont d'Abbeville : Les Croisettes.
30 mai 1940, combat de la tête de pont d'Abbeville : Bienfay, Camp de César, Mont de Caubert.
Le 30 mai le VERCINGETORIX doit avancer à l'aile gauche de l'attaque. Au dernier moment, étant sur la base de départ, il est envoyé à l'aile droite. Sur les pentes du Mont de Caubert, il tombe sur l'arrière d'un canon de 88 mm. Les servants affolés se jettent à la lisière du bois voisin. Le sous-lieutenant Vadon effectue un tir au canon sur la pièce de 88, à la mitrailleuse sur la lisière du bois, continue sa mission et rentre à Bienfay.
Le 31 mai 1940; le 46e B.C.C. est retiré. Il va stationner à Doudelainville, 18 km Sud d'Abbeville, le 1er juin à Roi-Boissy, 21 km Nord-ouest de Beauvais.
Le 3 juin 1940, les trois chars qui restent à la 3e compagnie sont versés à la 1ère compagnie, lieutenant René Bibes :
481 VERCINGETORIX, 485 MAGINOT, 443 MdL DUMONTIER.
Le 5 juin le 46e B.C.C. est à Auneuil, 9 km Sud-ouest de Beauvais.
Le 7 juin 1940, constitution du Bataillon de Marche 46/47.
Le 8 juin 1940, la 1ère compagnie BIBES verse à la 2e compagnie Ghislain les trois chars qui lui restent. Elle percevra 11 chars  B1bis neufs à Montlhéry.
Le 9 juin, le VERCINGETORIX est au P.E.B. 7 à Rosny-sur-Seine en échange de moteur. Il y est avec 13 autres chars dont dix ont été remis en état de marche.
Le 10 juin au matin, le P.E.B. 7 est parti. Il reste dans le parc 28 chars légers et 4 B1bis : VERCINGETORIX, MAGINOT, GASTON DE FOIX, MALMAISON.
Le lieutenant Pierron, chef de section à la 347e C.A.C.C. reste au P.E.B. 7 avec une équipe du parc 28 pour essayer de sauver le VERCINGETORIX : assembler les ensembles, remonter le coupleur, le ventilateur, les plaques de blindage. Les pleins sont faits en vidangeant les engins abandonnés, tous les obus possibles à mettre dans le char sont chargés, le reste est enterré. Après 11 heures d'effort, le 11 juin dans la nuit, le char prend la route. 
Le 12 juin 1940, le VERCINGETORIX est à Bouglainval, le 13 à Châteaudun, le 17 il passe la Loire au pont de Mer et à 6 heures du matin, il est à Muides sur la rive Sud de la Loire, à 30 km Sud-ouest d'Orléans.
Le 18 juin 1940, vers 3 heures, le lieutenant Pierron trouve un élément cuirassé et se met à la disposition de la 4e D.C.R.
Le VERCINGETORIX va à la compagnie du 47e B.C.C., du Bataillon de Marche 46/47, alors qu'il est à Bracieux, 19 km Sud de Mer.
Le VERCINGETORIX est abandonné à Noyers-sur-cher sur la N 675 (en face de Saint-Aignant), 38 km Sud de Blois, 32 km Sud-ouest de Bracieux dans des circonstances inconnues.

« chars-francais.net »

Maquette Trumpeter au 1/72, un régal à monter et à peindre, sortie de boîte sans aucune modification.



Les photos plus grande :








AMD PANHARD 178 en 1940 au 1/72

Pas de GRDI sans automitrailleuses.
Pour accompagner mes soldats.




CARACTERISTIQUES TECHNIQUES
Poids au combat : 8 300 kg Pression au sol : 2.558 kg / cm²
Longueur : 4,79 mètres Largeur : 2,01 mètres Hauteur : 2,31 mètres
Equipage : 4 hommes
Blindage et Armement :
Armement : 1 canon de 25mm SA 34 (150 coups) 1 mitrailleuse de 7,5mm (3750 coups)
Blindage maximum : 20 mm Blindage minimum: 7 mm
Propulsion :
Moteur : 1 Panhard I.S.K. Puissance : 105 CV Puissance spécifique : 13 CV / tonne
Vitesse sur route : 73 km/h
Réservoir : 145 litres Autonomie sur route : 363 km Autonomie tout terrain : 207 km
Production : 500 exemplaires Prototype : octobre 1933

Maquette RPM très facile à monter.


Renault R35 en 1940 au 1/72

Au début de la Campagne de France. l'armée disposait de 945 chars de ce type, plus 243 autres outre-mer. Le Renault 35 se caractérisait à son époque par un blindage sérieux mais aussi par une indiscutable lenteur. Son chef de char à la fois pointeur, tireur et chargeur de ses pièces, était surchargé de travail. Son optique, son habitabilité et son armement se révélèrent nettement insuffisants.
Longueur : 4,02 m. Largeur : 1,87 m. Hauteur : 2,13 m. Vitesse : 19 km/h. Poids : 10,6 t.
Équipage : 2 hommes
Bataillons équipés du Renault R 35 :
1er, 2e, 3e, 5e, 6e, 9e, 10e, 12e, 16e, 17e, 20e, 21e, 22e, 23e, 24e, 32e, 34e, 35e, 39e, 43e et 44e BCC








Lorraine 38L VBPC en 1940 au 1/72

1938  LORRAINE VBCP

Extrapolé du TRC, le VBCP (Véhicule Blindé de Chasseurs Portés) est transformé par l'adjonction d'un compartiment de transport surélevé à l'arrière. Une remorque, surélevée également, permet le transport sur l'ensemble chenillé d'un groupe de fusiliers voltigeurs.

Maquette très facile à monter et encore plus facile à peindre.



Le 17ème BCP
"Bataillon d'élite qui, sous l'ardente impulsion du Chef de Bataillon MAHUET, s'est montré dès les premiers engagements une troupe d'attaque de premier ordre.
Après avoir brillamment participé aux combats de jour et de nuit des ponts de la Somme, les 24, 25 et 26 mai 1940, a, le 4 juin, emporté de haute lutte, les seules positions conquises lors de l'attaque de la tête de pont d'Abbeville.
Pendant les quinze jours de retraite, a mené à l'arrière garde de l'Armée, un combat retardateur efficace. Le 8 juin, encerclé dans les points d'appui de Grez, de Gaudechart, de Lihus, de Grevecoeur et de Rotancy, c'est partout dégagé par une série de coups de mains héroïques. le 16 juin, après avoir participé jusqu'à l'extrême limite à la défense des passages de la Loire, a dû se frayer de vive force à Louryau passage à travers les lignes allemandes.
Troupe magnifique, exemple de courage, d'ardeur et d'esprit manoeuvrier."
Source : forum ATF40





Laffly W15T en 1940 au 1/72

Laffly W15T ACE au 1/72

Maquette très difficile à monter, c’est avec ce genre de modèle que je me rends compte que je ne suis pas un vrai maquettiste.

Spécifications techniques

• Nombre de cylindres : 4
• Cylindrée : 2 300 cm3
• Puissance maximum : 56 ch
• Poids mort en ordre de marche : 3 250 kg
• Charge Utile : 1 200 kg
• Empattement : 2,15 m
• Voie moyenne : 1,54 m
• Longeur : 4,50 m
• Largeur : 1,90 m
• Hauteur : 1,30 m
• Vitesse max. : 72 km/h.

Unité inconnue

Le 150é RI en 1940 au 1/72

Le ‪28 mai 1940 une heure du matin, la tête du 8° Zouaves arrive à Lomme et tombe sous le feu de blindés allemands (nous saurons plus tard que ce sont les chars de Rommel). L'ennemi barre la route d'Armentière et il n'est pas question de forcer le passage pendant la nuit. La colonne stoppe et le Colonel ANZEMBERGER découple des reconnaissances pour trouver un autre itinéraire.‬

‪Le Commandant GALINY du III/25° R.A., qui était sur les lieux, fait alors mettre en batterie des pièces de 75 qui "débouchent à zéro" et détruisent ou repoussent les chars allemands. Au cours du duel entre les canons français et les panzer, le Commandant GALINY est tué.‬
‪Renseigné vers 4 heures du matin par ses reconnaissance, le Colonel ANZEMBERGER aiguille son régiment sur Lambersart, Perenchies et Houplines et il franchit la Lys au pont de Frelinghien gardé par un détachement britannique. Vers 15 heures, épuisé, le 8° Zouaves atteint enfin la région de Nieppe.‬

‪Derrière lui, le 150° R.I. est arrivé à Lomme à six heures, il y règne une confusion totale. Le Colonel BASSE, qui avait devancé son régiment sur la Lys, serait tombé sur une unité allemande; il est porté disparu. Le Commandant DELAVEAU, qui commande la colonne, envoie des reconnaissances, se renseigne : un seul itinéraire est libre, par Lambersart et Verlinghem. Vers 14 heures, parvenu au nord de cette localité, le 150° R.I. tombe, à son tour, sous le feu de blindés ennemis. Les moyens anti-chars entrent en action; plusieurs chars sont détruits et l'ennemi se retire vers 15 heures. ‬Le Sergent Gerson n’a pas hésité à prendre le F.M de son groupe et à exécuter un tir précis et efficace sur les chars ennemis malgré que ceux ci se soient approchés jusqu’à 20 mètres.

‪Vers 17 heures, profitant d'un orage, le 150° R.I. réussi à franchir la Lys au pont de Frelinghiem. Il atteint sa zone de stationnement à Nieuwerke, épuisé de fatigue, à 20 heures.‬

‪C'est le dernier élément qui échappera à la nasse de Lille‬.

Figurines Pegasus







Le 6e GRDI en 1940 au 1/72

Le 18 mai 1940, à 12h00, suite à une information erronée signalant le repli d’une partie des troupes allemandes en direction de Sedan, le 6e GRDI est envoyé au nord de la ferme de la Tuilerie pour participer à une action offensive vers la cité ardennaise aux côtés des B1 bis et Hotchkiss de la 3e DCR. Repéré par l’aviation d’observation allemande, ce mouvement va valoir à l’unité de subir les foudres des artilleurs ennemis dans le secteur de la côte 276 où une terrible bataille aura lieu.

Le 6e GRDI lesarméesoubliées






Les tireurs FM 24/29

Le grenadier-lanceur VB.
La mitrailleuse Hotchkiss.