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La baille de Lutterberg 10 octobre 1758

En septembre 1758, lors de l' offensive française à Hesse , lorsque le prince de Soubise s'avança sur Einbeck défendue uniquement par la petite force du prince Ysenburg (7 500 hommes), Ferdinand de Brunswick détacha le général Oberg de 14 000 hommes pour le soutenir. Devant les forces combinées d'Ysenburg et d'Oberg, Soubise se retira d'abord à Göttingen, puis à Kassel. Les Alliés étaient sur ses talons et bientôt les deux armées se faisaient face près de Kassel.
La situation resta stable jusqu'au 3 octobre, lorsque Oberg apprit que le marquis de Contades avait envoyé deux forts détachements pour renforcer Soubise. La même nuit, Oberg traversa la Fulda et campa sur le plateau de Sandershausen.
Le 9 octobre, les deux détachements envoyés par Contades font la jonction avec Soubise qui franchit immédiatement la Fulda et forme une ligne de bataille devant l'armée alliée.

Le plan de Soubise pour la bataille était de tourner le flanc gauche allié avec le corps de Chevert pendant que Fitzjames attaquait au centre et lançait lui-même un assaut contre l'aile droite alliée sur le plateau de Sandershausen.






Les Hanovriens


Les français

Le Marquis de Chevret sur le flanc




L'attaque centrale des deux belligérants a la grande surprise des Français

La cavalerie Hanovrienne charge sur le flanc gauche Français






Les Français n'arrivent pas à avancer malgré leur supériorité numérique, pire ils reculent à certains endroit.

Mais l'arrivé du Marquis de Chevert dès le cinquième tour change tout.

Au centre les hommes de von Oberg reculent,

à droite ils sont submergés par l'infanterie royale. 



Lieutenant-General von Oberg félicite son artillerie qui bloque les fantassins du Prince de Soubise en bas du plateau,

Mais il ne peut rien contre le Marquis de Chevret qui déferle sur le flanc



Sur l'aile droite de von Oberg rien ne tient, ses troupes sont repoussées vers le plateau.

Le centre est enfoncé





De Chevert écrase tout sur son passage.





Mais la nuit tombe et de Soubise n’a pas réussi a s’imposer malgré un rapport de force bien à son avantage. Surprît par l’offensive Hanovrienne il n’a pas pu les déloger du plateau. Même si le nombre fait la différence à la fin de la bataille le Lieutenant-General von Oberg campe sur ses positions, les français n'ont pas réussis à les déloger.

Nous avons utilisé la règle "L'affaire d'un déjeuner" qui nous a permis de rejouer cette bataille en 3 heures. 
Merci à Guy pour cette belle après-midi.

La cavalerie Gauloise en 216 av. J-C au 1/72

Au cours du II ème siècle avant notre ère, en Gaule, apparaissent des unités d'élite parmi la cavalerie. Aux levées saisonnières de troupes et aux groupes de mercenaires ambulants qui pouvaient appuyer les armées gauloises à l'occasion, s'ajoutent au II ème siècle avant notre ère des unités permanentes de cavalerie qui étaient à la solde des représentants les plus riches de l'aristocratie gauloise.

Figurines Hät 







Figurines agréables à peindre, je vais les utiliser soit avec les gaulois déjà peints il y a quelque années, soit avec des Carthaginois pas encore commencés.
Ils sont soclés pour les règles Art de la Guerre, DBA, mais de toute façon soclées à l’unité sur des rondelles puis posées sur un socle aimanté aux bonnes dimensions.



F


2e Régiment de Tirailleurs Algériens en 1859 au 1/72

Le 2e régiment de tirailleurs algériens est un régiment d'infanterie appartenant à l'Armée d'Afrique, qui dépendant de l'armée de terre française, en activité entre 1842 et 1962. Il se distingue notamment au cours de la guerre du Mexique, lors de la bataille de San Lorenzo, qui lui vaut la Légion d'honneur puis surtout lors de la Première Guerre mondiale.

Le drapeau du 2e régiment de tirailleurs algériens est l'un des quatre drapeaux de régiments de l'armée française décorés de la Médaille militaire.

Figurines 42nd Black Watch toujours aussi bien sculptées par Massimo Costa.